Dans l’entreprise comme dans le sport cette parité n’existe pas.

Même s’il est aussi difficile pour une femme de battre des records, décrocher des médailles ou acquérir un palmarès, la reconnaissance médiatique et financière sont rarement respectées à quelques exceptions près.

Il en va de même dans les instances, peu de femmes sont présidentes de Fédérations, ou dans les instances de décisions.

Même si des progrès ont été fait à coup de loi ou de décret, on s’aperçoit que dans l’entreprise le phénomène est aussi vrai.

Pendant mes 30 ans en entreprise, je n’ai jamais eu de responsable ou de femmes qui m’ont dirigé. Dans les séminaires commerciaux ou de management les femmes se comptaient sur les doigts de la main.

Avec la nouvelle loi qui est en train d’être étudié au Sénat, les entreprises d’au moins 1000 salariés vont devoir intégrer 30 % de femmes d’ici 2027 et 40% d’ici 2030 dans leur COMEX et leur CODIR.  

Dans toutes les entreprises, il va falloir dorénavant accompagner les hauts potentiels féminins autant que les masculins.

Comme le disait Jean Ferrat, la femme est l’avenir de l’homme, et je pense qu’elle sera de plus en plus celui de l’entreprise, du monde du sport et toute de la société en général.